La question prend son sens dans un paysage littéraire et cinématographique déjà très riche, avec entre autres « Le Seigneur des anneaux », « Narnia », « Harry Potter », ou encore « le Trône de fer ».
Oui mais la Fantasy, qu’est-ce que c’est ? D’abord le genre de l’imagination par excellence, territoire indiscuté de la magie… En découlent plusieurs sous-genres diversement compris selon qui les emploie.
Résultat des courses ?
Edahlion est un récit qui tient de la « high fantasy », c’est-à-dire qu’il
se situe dans
un univers
totalement inventé
en opposition à la « low fantasy » : monde parallèle relié au nôtre, et à l’« urban fantasy » où la terre elle-même est un univers magique.
Il se classe également dans la catégorie « epic fantasy », avec
un point de vue
sur un groupe de héros
en opposition à l’« heroic fantasy », où un seul héros, souvent très caricatural, doit sauver le monde;
Enfin, il relève de la « medieval fantasy » (medfan), tout simplement par
un ancrage
dans le Moyen-Age
avec néanmoins quelques adaptations de notre cru.
On pourrait donc classer cette histoire sous le titre ronflant de « High epic medieval fantasy » (mais on n’est pas si snobs, alors on ne le fera pas).
Pourtant, si ces termes permettent de la situer plus clairement en regard d’autres œuvres, ils ne suffisent pas à en cerner les contours exacts… Et n’épuisent de loin pas la richesse de cet univers né des fantasmagories de quelques mordus d’aventures épiques, dont vous prendrez pleine mesure lors de sa sortie !